Cette série correspond à un éclatement de la série « barres ». Après l’explosion de la forme de barre, l’artiste entre plus avant dans la matière libre et fluide. Il s’agit pour lui d’atteindre l’échelle cellulaire des choses. Là tout coule, circule, bouge. Les cellules baignent dans un flux d’énergie. Cette énergie, blanche et lumineuse, les irrigue, à moins que ce soit plutôt les cellules qui soient génératrices de l’énergie vive ?